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Bilan chiffré du Landy Sauvage – mars 2020

Le Landy Sauvage est un lieu squatté et autogéré de 7000 m². C’est :

  • des espaces d’habitations accueillant une quarantaine d’habitant·es, dont trois familles et huit enfants
  • un des principaux lieux d’Île-de-France de soutien logistique aux réfugié·es et aux sans-abris
  • des ateliers de travail : bois, métal, arts plastiques…
  • avant la crise sanitaire, de nombreux événements et ateliers ouverts au publicainsi que pléthore de réunions associatives et résidences artistiques

Les confinements successifs puis le récent arrêté de fermeture de la Mairie de Saint-Denis nous a obligé à arrêter complètement toute activité à destination du public, mais voici quelques chiffres pour prendre conscience de tout ce qui s’y passait avant.

 

Entre mai 2018 et le premier confinement, soit en un peu moins de deux ans d’existence, le Landy Sauvage a accueilli une vingtaine de festivals et 432 activités uniques :

  • 133 ateliers uniques
  • 121 concerts et djsets
  • 106 spectacles (théâtre, danse, cirque…)
  • 51 discussions et débats
  • 42 distributions d’AMAP
  • 37 repas de quartier
  • 20 projections
  • 16 trucs inclassables
  • 11 portes ouvertes
  • 5 scènes ouvertes
  • 9 expositions collectives
  • 2 Bike Wars

A cela s’ajoute près de 500 sessions d’ateliers récurrents : auto-réparation vélos, cours de français langue étrangère, théâtre, cirque, handball, yoga, jongle, boxe, danse contact queer, jeux, arts martiaux, pilate, pole dance, effeuillage, capoeira, méditation, BassFit, dessin de corps nus non normés, club de lecture féministe…

 

Le Landy Sauvage accueille aussi sept collectifs venant en soutien aux exilé·es et aux sans-abris. Rien que durant l’hiver 2018-2019, les maraudes quotidiennes d’une seule de ces associations ont permis de distribuer :

  • 2 500 tentes
  • 25 000 couvertures et duvets
  • 42 000 pièces de vêtements chauds et sous-vêtements
  • 2 000 kits d’hygiène
  • 12 000 repas

A cela s’ajoute les nombreux collectifs accueillis en réunions, une ribambelle de compagnie en résidence (une soixantaine rien qu’au printemps 2019), beaucoup d’hébergements d’urgence, plein de joie et de bonne humeur et même trois naissances.

 

Vous pouvez voir la liste complète des événements sur cette page, mais vu qu’il y en a beaucoup, voici certains événements marquants et représentatifs : :

Inscriptions hiver-printemps 2020 – Cours et ateliers au Landy Sauvage

Toutes les activités sont à prix libre. L’inscription se fait directement auprès des personnes qui partagent leur passion avec vous. Les activités ne sont pas destinées aux enfants, ce sont des entraînements collectifs d’adultes.

 

Tai-Chi
👆 Débutant-es, mixte
 Tous les matins 9h-12h
📝 Cédric : cedricetcheverry@outlook.fr

 

Yoga – Hatha
👆 Tous niveaux, mixte
 Lundi 19h30-21h
📝 Prisca : prisca.compas@gmail.com ou 06 10 86 74 84

 

Yoga – Hatha & Vinyasa
👆 Débutant-es, mixte
 Mardi 18h45-20h
📝 Philippe : philippe.legrand@toma.fr ou 06 86 88 86 80

 

Danse – Hip hop, afro, dansehall

👆 Tous niveaux, mixité choisie
 Mardi 19h30-21h – une semaine sur deux
📝 Christelle : afro.wo97@gmail.com

 

Non-club de Handball
👆 Toux niveaux, mixte
 Mardi 20h-21h30
📝 Pierre : 06 03 91 24 27
Gratuit

 

Pole dance
👆 Débutant, mixte
 Mercredi 19h-20h30
📝 Fanny : rochereaufanny@gmail.com ou 07 77 70 00 71

 

Cirque
👆 Tous niveaux, mixte
 Mercredi 19h-21h
📝 Ouvert sans inscription. Plus d’info : sauvage@lestendhal.net

 

Effeuillage
👆 Tous niveaux, mixité choisie
 Jeudi 18h30-20h
📝 Fleure des Déesses de la Fesse : fleuredevanssay@hotmail.com ou 06 07 02 49 40

 

Auto-réparation vélo
 👆 Tous niveaux, mixte

 Jeudi 18h30-21h
📝 Pas d’inscription, entrée libre
Pièces détachées à prix libre

 

Yoga pré-natal
👆 Femmes enceintes
 Samedi 10h-11h
📝 Virginie : svirginie81@gmail.com ou 06 60 52 42 47

 

Boxe
👆 Tous niveaux, mixte
 Dimanche 12h30-14h30
📝 Ulysse : 06 52 35 48 14
Gratuit

 

Club de lecture féministe
 Une fois par mois
📝 Salomé : clubdelecturefeministe@gmail.com ou 06 23 07 51 51

 

Dessin de modèles vivants – corps hors-normes
👆 Tous niveaux, mixte (sauf choix contraire du modèle)
 Une fois par mois le dimanche après-midi
📝 Nilo : corps_normes@riseup.net ou 0626589192.

 

AMAP
Distribution hebdomadaire de paniers de légumes bio
 Mercredi 18h30-21h

💶 Paniers à 8 et 16€

📝 Renseignements sur place ou via amap.du.landy@gmail.com

 

Le Landy Sauvage est un lieu de vie, ainsi qu’un espace d’activités autogéré, militant, ouvert, familial et déjanté, situé à Saint-Denis dans le quartier Pleyel. Ici, chacun et chacune contribue à la vie du lieu et du quartier, dans un esprit d’entraide et de partage. Le collectif, entièrement bénévole, accueille de nombreuses initiatives : il y a certainement quelque chose pour vous !

 

Déposez ou prenez dans le magasin gratuit de vêtements, d’objets et de livres, ouvert lors de chaque événement.

Bilan chiffré du Landy Sauvage – octobre 2019

Entre mai 2018 et octobre 2019, soit en un an et demi, le Landy Sauvage a accueilli une quinzaine de festival et trois cent activités uniques (296 pour être précis) :

  • 96 spectacles
  • 79 concerts et djsets
  • 66 ateliers
  • 28 discussions et débats
  • 25 repas de quartier
  • 25 distributions d’AMAP
  • 18 projections
  • 14 trucs inclassables
  • 11 portes ouvertes
  • 8 expositions collectives
  • 4 scènes ouvertes
  • 1 Bike War

282 ateliers récurrents s’y sont tenus :

  • 57 ateliers vélos
  • 46 cours de français langue étrangère
  • 46 ateliers cirque
  • 36 non-club de handball
  • 32 ateliers yoga
  • 22 ateliers jongle
  • 18 ateliers boxe
  • 13 ateliers danse contact queer
  • 8 dimanche jeux
  • 4 ateliers BassFit

De nombreux autres sont programmés à partir de début novembre. Ce ne sont ainsi pas moins de 20 nouveaux ateliers hebdomadaire qui vont commencé début novembre. Ils sont déjà tous complets et certains devraient être dédoublé pour répondre à la demande. Plus d’info ici.

 

L’ensemble des ateliers de théâtre et de danse de l’association Mains d’Oeuvres – récemment expulsée – sont désormais donné au Landy Sauvage.

Toutes les activités accueillies au Landy Sauvage sont gratuites ou à prix libre.

 

Le Landy Sauvage accueille aussi sept collectifs venant en soutien aux exilé·es et aux sans-abris. Durant l’hiver 2018-2019, les maraudes quotidiennes ont permis de distribuer :

  • 2 500 tentes
  • 25 000 couvertures et duvets
  • 42 000 pièces de vêtements chauds et sous-vêtements
  • 2 000 kits d’hygiène
  • 12 000 repas

A cela s’ajoute les nombreux collectifs accueillis réunions, une ribambelle de compagnie en résidence (une soixantaine rien qu’au printemps 2019), beaucoup d’hébergements d’urgence, plein de joie et de bonne humeur et même trois naissances.

De nouveaux cours et ateliers au Landy Sauvage !

Toutes les activités sont à prix libre ou gratuites.

Elles ont lieu au Landy Sauvage à Saint-Denis.
Suivez ce lien pour vous inscrire.

Théâtre

Théâtre engagé
Explorer sa voix et son corps autour des luttes féministes et LGBTQI+
👆 Femmes et personnes LGBTQI+
 Dimanche 14h-18h

 

Théâtre libre
Autogéré, avec la Compagnie du Chien Soleil
👆 Mixte, tous niveaux
 Samedi 14h-17h

Sport

Sport adapté – Initiation aux arts martiaux (dont ninjustu)
👆 Priorité aux personnes mal voyantes
 Jeudi 19h30-20h30 OU mercredi 10h30-11h30
📝 Jour à déterminer selon pré-inscriptions

 

Pilates
👆 Tous niveaux, mixte
 Mardi 15h30-17h

 

Pole dance
👆 Débutant, mixte
 Lundi 18h-20h

 

Capoeira Angola
👆 Tous niveaux, mixte
 Lundi ou mercredi 19h-21h
📝 Jour à déterminer selon pré-inscriptions

 

Cirque
👆 Tous niveaux, mixte
📝Jour et horaire à déterminer

Bien être

Yoga – Hatha
👆 Tous niveaux, mixte
 Mardi 10h30-12h

 

Yoga – Hatha & Vinyasa
👆 Débutant-es, mixte
 Lundi OU mardi 18h45-20h
📝 Jour à déterminer selon pré-inscriptions

 

Méditation
👆 Tous niveaux, mixte
 Vendredi 18h30-20h OU Samedi 15h-16h30
📝 Jour à déterminer selon pré-inscriptions

Divers

Club de lecture féministe
Une fois par mois
📝 L’organisatrice vous tiendra informée de la première date

 

Dessin de nus – corps hors normes
👆 Tous niveaux, mixte (sauf choix contraire du modèle)
 Une fois par mois le dimanche 15h-17h30
📝 L’organisatrice vous contactera pour convenir de la première date

 

Jeux de rôle
 Soir ou week-end selon l’évolution du jeu
📝 L’organisateur vous contactera pour convenir de la première date

 

Couture
 Un samedi par mois 15h-17
📝 L’organisatrice vous contactera pour convenir de la première date

Rejoignez les rendez-vous existants

Atelier auto-réparation vélo
 Jeudi 18h30-21h
Pas d’inscription, entrée libre
Pièces à prix libre

 

Non-club de Handball
👆 Toux niveaux, mixte
 Mardi 20h-21h30
Pas d’inscription, entrée libre
GRATUIT

 

Boxe
👆 Tous niveaux, mixte
 Dimanche 13h-15h
Pas d’inscription, entrée libre
GRATUIT

 

Yoga
 Mardi 22 & 29 octobre, 5 & 12 novembre 19h30-21h
📝 Tanya 06 19 45 70 35
Prix libre

 

AMAP
Distribution hebdomadaire de paniers de légumes bio
 Mercredi 18h30-21h
💶 Paniers à 8 et 16€ – renseignements sur place ou via amap.du.landy@gmail.com

Le Bol d’Air ouvre sa salle

Le Bol d’air est un lieu autogéré ouvert depuis juin 2019, ancienne MJC à porte de Choisy il y a une trés belle salle polyvalente, nous sommes en train de monter la programmation des activités pour que les artistes et intervenants ainsi que le public et les voisins du quartiers puissent en profiter. on attend vos propositions vous pouvez nous contacter au 0638033125 et envoyer vos propositions sur ce mail :  boldair13@gmail.com

 

à très vite !!

 

L’ex-Transfo à nouveau occupé

Cet appel a été lancé le 2 juin sur squat!net.

 

Depuis 6h30 ce dimanche 2 juin, la police bloque l’entrée d’un nouveau squat occupé par un collectif de jeunes tchadiens, au 57 avenue de la République, à Bagnolet. Ce bâtiment est vide depuis l’automne 2014, précisément depuis le 23 octobre 2014, jour de l’expulsion du squat d’habitation et d’activités le Transfo. À l’époque, il avait donc été occupé pendant deux ans, ce qui montre que les propriétaires n’en avaient aucune utilité (autre que la spéculation).

 

Pendant la journée du 2 juin, la police a menacé d’expulser les lieux, mais une partie des nouveaux occupants sont montés sur le toit, calmant les velléités répressives de la police.

 

Mais malgré les preuves d’occupation depuis plus de 48 heures, il se pourrait que la police passe à l’offensive dans la matinée du lundi 3 juin. Le risque d’expulsion étant présent, rendez-vous ce lundi 3 juin à 6h du matin devant le 57 avenue de la République, à Bagnolet (métro Gallieni ou Robespierre), pour empêcher toute tentative d’expulsion.

 

Un logement pour tou·te·s !
Soyons nombreux·euses en solidarité !

 

Loi anti pauvres, anti squat et anti logement : STOP à la loi ELAN !

Pour manifester contre la loi ELAN et la criminalisation des squats,
RDV le samedi 1er septembre à 15h à la sortie du métro Saint Jacques !

 

Dans le cadre de la loi logement ELAN, qui contient de nombreuses mesures « anti-pauvres » le Sénat a voté la criminalisation des occupants sans titre des « locaux à usage d’habitation » (squatters, locataires et sous locataires non déclarés, victimes de marchands de sommeil…)

 

Le sénat a surfé sur un mythe démagogique : celui qui veut faire croire à une armée de squatteurs qui menacerait les propriétaires vacanciers ou hospitalisés. Dans ces hypothèses, la loi permet déjà, et depuis longtemps, l’éviction quasi immédiate du domicile d’autrui.

Les nouvelles facultés d’expulsion s’attaqueront à d’autres : celles et ceux qui, pour se mettre à l’abri, vivre sous un toit et maintenir leur dignité, s’installent dans des locaux vacants, parfois vides depuis plusieurs années. Ces immeubles vides ne sont le « logement » de personne, pas même du propriétaire en titre, mais ils deviendraient plus protégés que le droit de chacun de ne pas être à la rue. Expulsables sans jugement, ni délai, les occupants seraient aussi passibles d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende.

 

D’autres précaires seront emportés au passage : les personnes logées ou hébergées par des propriétaire sans scrupule ou des marchands de sommeil qui, sans contrat, ne pourront jamais prouver leur bonne foi.

 

La France compte 3 millions de logements vacants et la loi de réquisition reste inappliquée. Le nombre de sans abri, d’expulsions sans relogement ou de demandeurs HLM atteint des records historiques. Alors que les loyers continuent à augmenter, les APL sont réduites et les aides à la construction de HLM sont supprimées.

 

De plus en l’état des débats, la loi ELAN précarise durement les locataires du privé, aggrave l’accès au logement des personnes en situation de handicap, rétablit les sanctions financières contre les locataires, autorise la destruction sans jugement des maisons dans les quartiers informels en Guyane et à Mayotte. Elle permet d’expulser plus rapidement les familles endettées les moins riches ou lorsque l’un de ses membres consomme des stupéfiants, elle marchandise le logement social et vient servir la vénalité des spéculateurs et les intérêts des investisseurs et des grands propriétaires …

 

La loi ELAN pourrait être définitivement adoptée dès septembre, il y a urgence !

 

Nous demandons le retrait, dans la loi ELAN :

  • de l’articles 58 ter (anti squat) qui piétine le combat centenaire des mal logés, des associations, de l’Abbé Pierre et de nombreuses personnalités,
  • de toutes les mesures anti-pauvres ou qui aggravent la crise du logement …

Premiers signataires : DAL, Sortir du Silence, Syndicat de la Magistrature, United Migrants, Union Syndicale Solidaires…

En avril, protégeons la ZAD de NDDL !

Invitation sur la Zad début avril – Ils ne nous découvriront pas d’un fil !

 

Le gouvernement a annoncé après l’abandon du projet d’aéroport qu’il lancerait des opérations d’évacuation des lieux de vie de la zad de notre-dame-des landes à partir du 31 mars. Petit poisson d’avril ? Pas dit : la préfecture a confirmé encore récemment ces intentions belliqueuses. Le début du mois prochain pourrait donc être agité et d’emblée, nous entendons dans ces menaces un appel à nous rassembler.

 

L’ensemble du mouvement a affirmé qu’il s’opposerait à toute expulsion de celles et ceux qui ont su protéger ce bocage et souhaitent continuer à y vivre. Les appels à s’organiser pour des réactions immédiates dans la région et partout ailleurs sont plus que jamais d’actualité. Sur la zad, au moment où l’Etat cherche à tout casser, nous allons continuer à construire les structures collectives et habitats de ce territoire d’expérimentation et de luttes.

 

Nous invitons en ce sens à un premier temps fort fin mars début avril afin d’être nombreux.ses sur place et prêt.e.s à se mobiliser. Ce sera aussi l’occasion de prendre le temps de renouer des liens entre nous, avec les comités, avec d’autres luttes et de penser l’avenir.

 

Plus d’informations dans l’appel publié sur zad.nadir.org.

Armés de masses, de haches, de disqueuses et d’une pelleteuse, vingt personnes ont saccagé le squat de la Récré

En matière de squat comme dans d’autres cas en état de droit d’aucun n’est censé se faire justice soit même et encore moins d’en infliger les peines. Le 14 février au matin, vingt personnes ont cependant débarqué dans un squat installé depuis trois mois à Aubervilliers. Ils étaient armés de masses, haches, disqueuses et même d’une pelleteuse. Pendant que certains coupaient les cadenas laissant accès à la pelleteuse, d’autres ont sauté les murs d’enceintes et sont entrés de force dans le bâtiment. Ils ont attaqué les espaces d’habitation et d’ateliers et tout saccagé sur leur passage. Vous pouvez voir l’étendu des dégâts sur cette vidéo ou ces images. Ils sont revenus vendredi et ont arraché les fusibles alimentant le bâtiment en électricité.

 

Les assaillants ont frappé plusieurs personnes du lieu et ont proféré des menaces de mort.  Trois habitants ont dû aller à l’hôpital. Les attaquants se déclarent comme faisant parti du Five, un établissement voisin qui veut récupérer le bâtiment de la Récré pour étendre son activité de football en salle. Selon leurs dires, ils sont locataires du lieu, bien qu’ils n’aient apporté aucune preuve et qu’ils tenaient un discours différent lors des premières rencontres. En effet, ils n’en sont pas à leur première visite dans les locaux et savaient déjà depuis plus de deux mois que les habitants avaient élu domicile dans ce bâtiment. Ils auraient dû entamer une procédure d’expulsion par voie légale. Ils ont préféré se faire justice soi même. C’est inadmissible. Nul n’est censé ignoré la loi dit l’adage et il n’y a que le droit qui exerce la loi.

 

Un des gérants du Five a été le plus violent des agresseurs. Armé d’un merlin – une hache pour découper du bois – il a frappé à deux reprises un des habitants, dont une fois dans le dos. Les coups ont été donné heureusement depuis le côté masse du merlin, mais les séquelles auraient quand même pu être grave. Il a ensuite donné deux coups de poing à un autre habitant et l’a menacé de mort. Une plainte a été déposée contre lui et il a passé une journée en garde à vue. Espérons que ses actions ne restent pas impunies. EDIT : trois jours après, plusieurs personnes sont venues menacer un habitant, en lui disant qu’il y aurait des représailles s’il ne retirait pas sa plainte.

 

Lors du dépôt de plainte, un agent de police a signifié aux squatteurs que c’était normal, qu’il était à Aubervilliers ici. La ville serait-elle un no-man’s land ? Bien que des agents de police soient arrivés dans les dix minutes qui ont suivi la prise d’assaut du squat, ce qui a permis d’éviter le pire, ils ont conseillé aux squatteurs de plier bagages. Apeurés et intimidés, certains sont partis, tandis que d’autres dorment toujours sur place et craignent pour leur sécurité.  On se croirait dans un mauvais western, sauf que ce n’est pas une fiction et que c’est aujourd’hui plusieurs personnes qui se retrouvent à la rue.

 

Depuis toujours, les propriétaires ont eu recours à des formes d’intimidations, que ce soit par la force, l’argent, ou encore la justice. Or, les propriétaires sont dans l’obligation de suivre la procédure légale et ne peuvent utiliser de telles pratiques. Il est important qu’une décision judiciaire soit prise à l’encontre de la société Five et de son gérant, responsable de cette agression.

 

Le phénomène squat n’est pas nouveau à Aubervilliers. Il est impératif que la ville, les forces vives du milieu alternatif et les associations se mobilisent pour ne pas conforter les préjugés d’insécurité et de violence associés à Aubervilliers. Les installations de lieux culturels et associatifs est un véritable poumon pour la ville. En tant que lieux de vie, les squats sont de véritables laboratoires du vivre ensemble que les autorités ne peuvent pas ignorer.

 

Attaque de la Récré

Attaque de la Récré : besoin de monde en urgence

La Récré est un squat à Aubervilliers qui s’est fait attaquer ce mercredi 14 février.

 

Alors qu’ils sont sur place depuis trois mois, une vingtaine de personnes sont venu chez eux tout casser, avec batte de base ball, outils et même un engin de chantier. Ils ont frappé plusieurs personnes du lieu et ont proféré des menaces de mort.

 

Les attaquants font tous parti du Five, un établissement voisin qui veut récupérer le bâtiment de la Récré pour étendre son activité de terrain de football en salle. Plusieurs de ces personnes ont été identifiés par les habitants. Ils ont porté plainte auprès du commissariat, mais il y a peu de chance que cela aboutisse. Pourtant, ils ont des preuves vidéos des menaces.

 

Vous pouvez voir l’étendu des dégâts sur cette vidéo ou ces images.

 

Les intimidations ont malheureusement fonctionné et l’équipe de la Récré est en train de déménager. Ils n’ont pas envie que cela dégénère et qu’un d’entre eux ou un invité termine à l’hôpital, voir pire.

Mais ce n’est pas fini. Vendredi, les malfrats sont revenus et ont arraché les fusibles alimentant le bâtiment en électricité. Les habitants ont peur qu’ils en profitent pour venir les attaquer dans la nuit.

 

Ils ont besoin d’aide dès maintenant pour déménager leurs affaires. Si vous avez, n’hésitez pas à ramener une lampe torche ou frontale et des outils !

 

La Récré est au 46 rue des écoles à Aubervilliers.

La Maison Rose a besoin de vous !

Parce que trop d’adolescents sont abandonnés à la rue
Parce que les conditions d’accueil en France ne sont pas à la hauteur de la situation d’urgence
Parce que la majorité des refus de minorité sont infondés
Parce que les recours sont trop longs et sans assistance
Parce que leur quotidien est méconnu du grand public et qu’il faut médiatiser cette réalité indigne
Parce que nous devons prendre nos responsabilités humaines et citoyennes.

 

Chaque jour à Paris arrivent de jeunes exilés. Peu importe les raisons de leur départ, ils sont ici, seuls et désorientés.
Une équipe de parisiens sensibles à la cause des exilés a donc investi un lieu vacant depuis plusieurs années pour les héberger : la Maison Rose.

 

Vous souhaitez aider le projet ? L’équipe de la Maison Rose a besoin de tous ces petits et gros objets pour que la maison fonctionne :

  • Lits superposés
  • Oreillers 
  • Draps simples
  • Serviettes de bain
  • Denrées non périssables : Pâtes/Riz/Semoule
  • Huile/sucre/sel/thé noir
  • Congélateurs
  • Sèche linge
  • Bouilloires
  • Étendoirs à linge
  • Ordinateurs pour des cours d’informatique

Si vous préférez les aider financièrement, voici le lien vers la cagnotte Leetchi.

 

Vous pouvez contacter l’équipe de la Maison Rose via leur compte Facebook.

Merci à toutes et à tous pour votre soutien, sans vous le projet n’existerait pas!

Expulsion des habitantes du 17-21 rue Ernest Savart

Ne faites pas confiance aux proprios et aux autorités

Article paru le 11 décembre 2017 sur squat.net

 

Samedi 9 décembre 2017, en début d’après-midi, l’ouverture d’un nouveau squat a été rendue publique à Montreuil, au 17-21 rue Ernest Savart.

 

Ce squat, où s’étaient installées environ 25 femmes, dont la plupart sont des migrantes venant notamment de Côte-d’Ivoire qui avaient été expulsées début octobre du 30 rue Gambetta, à Montreuil [1], avait pour objectif d’être à la fois un lieu d’habitation et un lieu d’activités publiques ouvertes à toutes et tous.

 

Le tract reproduit ci-dessous explique plus en détails la démarche des squatteuses, et notamment le fait que le tribunal administratif a condamné la Ville de Montreuil à reloger les expulsées du 30 rue Gambetta. Mais la Ville ayant fait appel de la décision, celles-ci restaient sans logement, d’où cette nouvelle ouverture de squat…

 

Samedi 9 décembre, alors que la plupart des soutiens étaient à l’intérieur du bâtiment avec les squatteuses, la police n’a pas tardé à se pointer. Une première voiture de flics en uniforme, dont certains décident de passer par-dessus le portail pour tenter de pénétrer dans le bâtiment occupé. Mais celui-ci est suffisamment bien protégé pour empêcher cette intrusion malvenue. Quelques temps plus tard, ce sont deux représentant-es de l’UGECAM [2], organisme propriétaire du bâtiment, qui arrivent et s’étonnent de l’occupation de ce bâtiment, pourtant laissé à l’abandon depuis de longs mois, au moins depuis l’ouverture de nouveaux locaux, place du Général de Gaulle, à deux pas de là [3].

 

La directrice s’avère pourtant assez rapidement conciliante et envisage même un accord pour convention d’occupation, bail précaire ou autre. Entrée dans le bâtiment avec des squatteuses pour constater que celui-ci est en parfait état, elle déclare les yeux dans les yeux que pour elle « le cœur l’emporte sur la raison », qu’ayant l’habitude des situations de détresse dans son travail elle ne pourrait pas mettre à la rue des femmes sans logement, surtout par le froid qu’il fait en ce moment, et que les occupantes pouvaient avoir l’assurance de rester au moins jusqu’à la fin de l’hiver. Certaines des squatteuses en avaient les larmes aux yeux de bonheur.

 

Une bien belle histoire, un scénario suffisamment rare pour être signalé.

 

Mais malgré toute la sincérité qui peut transparaître dans les promesses lancées par les propriétaires, comme par les politicien-ne-s ou tout-e représentant-e d’institution, les promesses n’engagent que celles et ceux qui y croient.

 

Le capital immobilier et potentiellement financier que représente la propriété privée s’oppose de fait à l’accès libre au logement. Ce sont deux réalités qui s’affrontent.

 

Juste avant les 48 heures du constat d’occupation par les forces de l’ordre, en tout début d’après-midi ce lundi 11 décembre, c’est avec dégoût et colère que les occupantes du 17-21 rue Ernest Savart ont vu débouler les flics en nombre, pour expulser la bâtiment, suite à un « arrêté préfectoral ». Évidemment en l’absence de la directrice de l’UGECAM, qui a pourtant sa part de responsabilité dans cette décision de mettre à la rue 25 femmes deux jours après leur avoir promis qu’elles passeraient l’hiver au chaud dans ce même bâtiment.

 

Finalement, la « raison » l’a emporté sur le cœur.
Le portefeuille et l’ordre l’ont emporté sur l’entraide et la solidarité.

 

 

 

 

Notes:
[1] Plus d’infos sur Paris-Luttes.info et dans quelques articles du journal Le Parisien: « Montreuil : des femmes et des enfants à la rue depuis une semaine » (13 oct. 2017), « Montreuil : la mairie assignée en justice par des squatteurs » (25 oct. 2017), « Montreuil : la mairie condamnée à reloger les squatteurs de la rue Gambetta » (27 oct. 2017), « Montreuil : l’espoir d’un relogement s’éloigne pour les expulsés » (10 nov. 2017).
[2] Union pour la gestion des établissements des caisses d’assurance maladie, présentation historique de l’organisme ici.
[3] « L’UGECAM Ile-de-France inaugure son nouvel établissement : l’Espace Pédiatrique Alice Blum-Ribes » (14 mars 2017, sur le site de l’UGECAM Ile-de-France).

Squat’heure d’antenne a besoin de vous !

Salut à toi la squatteuse,

Salut à toi le squatteur,

 

Depuis 2 ans, une fois par mois (chaque 3e mercredi du mois, de 17h à 18h30 sur FM89.4 – Radio Libertaire), une petite équipe s’active à réaliser cette émission, invitant des squatteurs pour parler de leur quotidien, de leurs réussites, de leurs déboires, de leurs activités et tout et tout !

 

Mais depuis 2 ans, la petite équipe s’est réduite et s’est essoufflée. Il n’y a pas eu d’émission depuis septembre dernier et l’équipe est prête à rendre les clefs du local radio, si un nouveau souffle ne prend pas le relais !

Ce serait pourtant dommage qu’un créneau radio réservé à l’actualité des squats, des TAZ, des ZAD, cesse !

 

Aussi, si tu as toujours eu envie d’animer une émission de radio, de réaliser des reportages, de passer des disques, de faire de la régie son, c’est le bon moment pour nous rejoindre JEUDI 26 OCTOBRE à 19h à la Trockette (125 rue du Chemin Vert, Métro Père Lachaise) et apporter toutes tes idées et ton énergie à cette aventure qui mérite de perdurer.

 

En espérant que Squat’Heure d’Antenne retrouvera un second souffle grâce à vous, on vous espère motivé à venir tchatcher du futur de cette émission de radio !

Et il poussera demain, des squats comme des petits pains.

 

Salutations anarshowradiophoniques,
L’équipe !

L’été des expulsions continue, l’Attiéké en fait les frais

Aujourd’hui 17 août 2017, à 6h30 du matin, le centre social auto-organisé et habité de Saint-Denis, l’Attiéké, a été expulsé, à grand renfort de flics de tous poils, huissier, président et gestionnaire de la Fédération Française de Triathlon (propriétaire du bâtiment). Les habitant-e-s ont pu sortir sans arrestation et récupérer certaines affaires. Le reste est parti dans un garde meuble dans une autre ville de la région parisienne et sera vraisemblablement récupéré dans les jours à venir.

 

Les ancien-ne-s occupant-e-s du centre social Attiéké se réuniront ce soir à 19h au square de Geyter. Présence bienvenue et nécessaire pour gérer l’urgence. D’autres rendez-vous de soutien suivront.

 

De la tristesse, bien sûr, face à cette nouvelle qui tourne une page de quatre ans de luttes, d’occupations, de solidarité et d’amitiés, mais il reste encore tout un livre derrière à gribouiller ! Soyez prêt-e-s, « show must go on ! »

 

Publié le 17 août 2017 sur Paris-Luttes.info et Squat!net.

C’est la Semaine Sauvage !

Le Clos Sauvage prend de l’avance sur la réforme du code du travail et passe à la semaine de 9 jours. Organisée par toute l’équipe du Clos, dirigée par un chat avec un chapeau sur la tête, la semaine sauvage t’emmène sur les rivages pas sages du 9-3.

vendredi 16 juin

19h : Bête de foire ! – cabaret musical

samedi 17 juin

17h : « Opprimées » de la Compagnie Vent Debout – théâtre engagé

dimanche 18 juin

16h : Les après-midis nomades d’Abel – danse
20h : Des Impros et des Ailes – improvisation théâtrale

lundi 19 juin

18h : Soirée poésie musicale avec les dents – poésie musicale un peu trash

mardi 20 juin

20h : Scène ouverte sauvage – poésie, théâtre, danse, musique…

samedi 24 juin

19h : Espèce de bouffonnes – trio de clownes

dimanche 25 juin

16h : Journée en famille : ateliers et projection – film et atelier
21h : « Une proposition » de Juste avant la compagnie – théâtre

 

Scene ouverte sauvage

Appel A temoignage Petite Maison

BONJOUR TOUS-TES !

 

On a besoin de vous !
A toutes les personnes qui nous ont contacté pour des répèts, réunions, expo, concert, scène ouverte, rencontres, débats projections &more! Particuliers déters, artistes, militant-e, collectifs ….

 

Envoyez à ras@squat.net : un petit blabla sur votre taff et ce que vous y avez fait dans le lieu. Et ce que la petite maison, en tant que squat, vous a permit de réaliser et dans quelles conditions. Un petite photo avec serait top. No pdf.

Squattement votre,

Nous.

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QUEERFOOD SOUTIEN !

QUEERFOOD de SOUTIEN
PROCÈS EN APPEL DE L’EXPULSION ILLÉGALE D’UN LIEU FÉMINISTE À PARIS :
SOLIDARITÉ CONTRE LA RÉPRESSION !

 
Le mercredi 8 février 2017
à partir de 19H30
à la Nouvelle Rôtisserie, 4 rue Marie et Jean Moinon dans le 10e

* Repas vegan à prix libre *

Parce que nous sommes un groupe féministe qui s’organise sans hommes cisgenres ; parce que nous voulons créer des espaces sans autorité, des espaces collectifs de lutte, d’habitation, d’entraide et de partage des savoirs ; parce que nous voulons combattre tout ce qui nous oppresse…

…Nous avons occupé une maison inhabitée depuis 6 ans en septembre 2014.
ExpulséEs illégalement par les flics suppléés par la BAC, quatre d’entre nous ont été arrêtées et placées en garde-à-vue. Suite au procès pénal, elles ont été condamnées à une peine avec sursis (3 mois de prison et 2000 euros d’amende) assortie de 2174 euros d’amende au profit des proprios (préjudices matériel et moral, frais de justice).
Nous avons fait appel de ce jugement et le procès est fin février.

Nous voulons des espaces féministes d’habitation et de lutte !
Contre toutes les expulsions !
Les logements sont à celleux qui les habitent !
Trans, gouines, meufs, femmes, lesbiennes, précaires, féministes,
OCCUPONS l’espace !

VENEZ NOUS RENCONTRER ET ÉCHANGER AUTOUR D’UN BON REPAS À LA QUEERFOOD DE SOUTIEN LE MERCREDI 8 FEVRIER À PARTIR DE 19H30!

MANIFESTE F.O.U.

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F.O.U. – STATE OF EMERGENCY

Press release. Stop. The Festival des Ouvertures Utiles (F.O.U.) is coming. Stop. To different places. Activist arrests, COP21, the LOPPSI Law, National State of Emergency. RESISTANCE. Stop. Meet, share. Stop. Expositions, conferences, cinema club and concerts. Stop. Come one and all. Stop.

 

F.O.U. Constitution

ART. F.O.U. 0:

Art. 25 of the Universal Declaration of Human Rights:

Everyone has the right to a standard of living adequate for the health and well-being of himself and of his family, including food, clothing, housing and medical care and necessary social services, and the right to security in the event of unemployment, sickness, disability, widowhood, old age or other lack of livelihood in circumstances beyond his control.

 

ART. F.O.U. 1:

From rent wars to temp work, squats respond to necessity by sharing goods.

We are legitimate occupants with no rights nor titles for buildings left empty without any real inhabitants.

 

ART. F.O.U. 2:

Requisition and civil disobedience, the squat is an alternative and a place to defend.

Housing for international emergencies, a public utility and a home for alternative lifestyles that are not so uncommon.

 

ART. F.O.U. 3:

Free spaces of creativity and exchange, squats gather each year for F.O.U. to open doors and minds.

 

ART. F.O.U. 4:

F.O.U., an inter-squat magma, will witness the assembly of different spaces coming together to move in the same direction for one month.

 

ART. F.O.U. 69:

Pleasure in your neighborhood, F.O.U. is a free-access festival!

No visa nor vision, bring your own contribution

 

ART. F.O.U. 5:

Release your art, mobilize your know-how and energy, during F.O.U. you’ll see just about everything!

 

F.O.U. Loose Thread: One F.O.U. can conceal another. To want is to F.O.U. It takes a F.O.U. to know one. A rolling F.O.U. gathers no moss.

END F.O.U. Press Release

SOS BAB EL OUED – PARIS INTERSQUAT

 

« En 1995 on ne savait pas qu’on faisait de la politique »

« s’engager comme citoyen (…) sauver le pays »

 

On est en Algérie. 33 ans après le départ officiel de la France, le renversement du gouvernement provisoire, le coup d’état militaire, les premières manifestations massives et leur répression, la montée du parti islamiste, les tentatives de démocratisation et près de 10 ans de guerre civile, 10 ans d’assassinats, de peur aussi.

 

Alger, un quartier : Bab El Oued.

 

« on n’avait pas le choix, soit on s’en va à l’étranger, soit on reste pour lutter et créer un espace de résistance »

 

La reconstruction vient d’en bas, de la rue et de ses habitants, ça a toujours fonctionné comme ça.

Alors le besoin de créer un lieu d’accueil sécurisé, d’expression libre, et surtout de prendre soin de la relève, des jeunes, des enfants. SOS BAB EL OUED. Voila le nom que ça prend dans cette ville.

 

« ici c’est la maison ».

 

SOS BAB EL OUED, est une association et une école militante contre le mal être des jeunes, sous-estimé par l’ingérence d’un gouvernement. Il s’y déroule des ateliers, cours de soutien scolaire gratuit, espace musical libre, spectacle, cours d’anglais, salle de répétition, fêtes, accueil des volontés et projet de jeunes citoyens : un lieu de partage où l’entraide devient une réponse prouvant son efficacité. Nous ça nous parle.

 

Sans espace d’expression et de création, tout se perd : les rêves, les envies, la détermination, la confiance en soi. Et avec, la nécessité d’entreprendre pour construire.

 

SOS Bab EL Oued organise la relève et soigne la jeunesse en leur redonnant confiance par l’apprentissage et la possibilité de s’exprimer comme on l’entend. Ca se sent dès que tu poses un pied chez eux. Sourires, enfants, ado, trentenaires, blagues, filles, garçons, musique live de fond et Charlie Chaplin sur les murs !

 

Cet espace a laissé s’épanouir le rap comme langage et témoin d’une poésie moderne. C’est comme ça qu’on a rencontré GENOXY, un duo de rappeurs qui ont évolué au sein de l’association. Ce sont eux qui se déplacent le 30 décembre à Paris, à la Petite Maison, pour une soirée concert, projection et open mic !

SOIREE SOS BEB EL OUED, pour contre-carrer l’école de la haine par l’échange, le partage et la solidarité. On soutient ces fourmis qui se battent au quotidien pour s’exprimer et créer des lieux où toutes personne est libre d’être elle-même, et de trouver sa place peu importe l’état du système en place.

Parce que la désobéissance sans soutien de masse ne peut fonctionner,

 

On vous attend à la Petite Maison le 30 décembre : SOIRÉE DE SOUTIEN SOS BAB EL OUED !

++  sos bab el oued : https://www.facebook.com/Sosbabeloued.97/?fref=ts

 

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SACRILEGE DE L’ACCES LIBRE !

Nous rappelons à toutes et tous, qu’en aucun cas l’accès de La Petite Maison n’est restreint, peu importe la ou les « bonnes » raisons.

 

Si quelqu’un vous dit le contraire, forcez le passage.

 

Une erreur s’est produite mardi dernier pour la scène ouverte Self-ish , par manque de communication. C’est avec beaucoup de paillettes que nous nous excusons du sacrilège.

 

Punk is not dead.
Bisous surtout.

La Petite Maison.

2ème bougie pirate !

La Petite Maison fete ses deux ans, avant sa démolition proche. Les « homo economicus » alias la SIEMP soutenue silencieusement par la mairie du 11ème, vont construire pour notre bien à tous : UN IMMEUBLE ! Qué projet..

 

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Tout doit disparaitre. Comme si l’humanité avait 50 ans.
On rase l’histoire, elle n’est pas rentable.

L’économie comme enfant diabolique du « travail, famille, patrie ». « Ca » dirige notre quotidien, notre paysage urbain.
Regardez l’histoire a disparu, plus rien n’a de passé, les rues se meurent.

 

Le 11ème arrondissement, un quartier populaire d’artisans. Lieu nouvellement témoin d’une guerre rendue moins lointaine à ses habitants. La commune, Aligre, Bastille, Charonne… Il est révolté et vivant dans les livres ce quartier. Mais ca bouge. Bientot on ne pourra qu’y manger et boire dans cet arrondissement. Moins d’intéractions, moins de culture, moins d’accessibilité, plus de bouffe, plus de consommation : massacre cérébral de masse, “ oublie tes envies et remplis toi !”


Pour sur y a des survivants : l’association de quartier Saint Bernard, le jardin potager rue Trousseau, la commune d’Aligre, le palais de la Femme, les petits théatres… Ca fourmille encore, mais pour combien de temps ?

Et comment se saisir de ce problème qui n’a pas de forme physique. C’est un mouvement social de masse où l’argent est le seul critère. C’est « ca » qui nous permet de répondre à notre besoin de sociabilité dont la diversité de choix est fortement restreinte : 
Qu’est ce qu’on fait ce soir : nouilles ? burger ? bo-bun ? fish & chips ? crêpes ? vin blanc ? bière ?

 

A croire qu’on se laisse réduire à manger et boire, pipi et caca.

 

Nous avons laissé notre horizon se rétrécir. Depuis le temps que l’homme vit en groupe dans la cité, les intéractions entre nous se sont drastiquement evaporées. Sauf sur les terrasses ou dans les restaus. Et quand bien même…
Notre seul point commun doit-il vraiment être l’argent qui nous permet de boire le même vin sur la même terrasse d’un nouveau bar concept ?

Nous, on essaie d’être vivants dans ce contexte où l’on nous fait croire que l’économie détermine ce que tu peux être. Ce « nous » représente autant d’idées que de personnes, alors donnons lui une forme, celle d’un lieu : La Petite Maison, 8 rue Godefroy Cavaignac.

 

Lieu alternatif, squat, appelez-ça comme bon vous semble. Nous on l’appelle la maison.

 

Au nom de la débrouille et de l’autonomie, on est rentré en septembre 2014, pour y vivre. Et rapidement, on se dit que l’espace mérite d’être partagé et ouvert. Parce que ça nous manque à nous dans la ville, alors on va le faire.

C’est surement ça qu’on nous reproche : notre besoin d’échanger et de partager, de découvrir ce que font les autres, de s’exprimer, de s’émerveiller, de critiquer, de construire, de créer, d’aider, de se donner ce dont on a besoin, répondre à ce qu’on ne peut s’offrir. Soit parce que ça n’existe nulle part, soit parce que l’argent le rend inaccessible.

 

Alors certains vont nous balayer de la main d’un qualificatif négligemment hautain du genre “pff squat arti”, pendant que les autres nous toisent derrière leur cigarette cousue en étalant combien sale et paria nous sommes : mauvais citoyens.

 

Pourtant en 2 ans on en a regroupé et accuellit du monde. Surement assez pour se faire détester par tout le monde d’ailleurs. Mais tant qu’on reste intègre avec nous meme, nous on se porte bien. Retour ligne automatique
En deux ans, on a dépassé : Retour ligne manuel

- les 1000 nuités d’hébergement d’urgence à plus ou moins long termes ; Retour ligne manuel

- la centaine de collectif a venir occuper le lieu ; Retour ligne manuel

- la centaine de scène ouverte qui se multiplie par deux si on y ajoute les jams ; Retour ligne manuel

- de l’espace pour des répèts en accès libre idem pour l’espace de travail ! Retour ligne automatique
Que d’occasions de ne pas être d’accord, de se prendre la gueule.. Mais nous on s’en souviendra.

La SIEMP -Société Immobilière Mixte de la ville de Paris – reserve le même sort à la Petite Maison qu’à la rue Dénoyers : Une belle et bonne demolition, pour une bien plus rentable construction. Enfin… ca c’est ce qu’ils disent, comme ils l’ont dit à feu la Miroiterie.

 

Un autre lieu qui a vécu, un autre lieu qui passe son dernier hiver, un autre lieu qui meurt et surtout d’autres projets economiques qui detruisent les possibilités dans la capitale. Nous remarquerons que ce sont toujours les memes acteurs minoritaires qui choisissent le paysage urbain de la majorité… fatigant non ?


Gardons une blague pour la fin : la SIEMP exige que l’on s’expulse fin décembre, sans relogement. Ils apellent ça du chantage… Aaaah la vie des bureaux !

 

La Petite Maison souffle sa deuxième bougie pirate le 30 octobre 2016, “LICORNE IS NOT DEAD”, et on va s’en assurer. Parce qu’on ne dormira pas dehors ! ! 

 

Pour l’abolition de la suprématie des homos economicus, on continuera à faire ce qu’on dit :
“Squatter c’est exercer son droit de désobeissance face aux dysfonctionnements du système”
Squattement votre,
R.A.S.

SQUAT IS NOT A CRIME !

TÉMOIGNAGE, de Prunus – entité invisible et non identifiée d’un collectif bien vivant – Avril 2016.

« Je les suis depuis 2 ans maintenant. Cette troupe de déterminés fonctionne en groupe, femelles, mâles, jeunes, vieux, papiers, pas de papiers, dentés et édentés, travailleurs et galériens, asociaux et assoiffés de contacts, faiseur de vaisselle et phobique du balai, politisés et nanti… Impossible de les décrire de façon général, par contre je peux vous dire ce qu’ils ont en commun.
Ils occupent des bâtiments inexploités et laissés vides par des propriétaires jouant avec la spéculation, prisonnier d’un système administratif engluant leur propres projet ou inaptes à gérer des parcs de biens trop large. Ce collectif, je le vois s’agiter tous les jours : ils me fatiguent rien qu’à les regarder. Vous devriez les voir récupérer dans toute la ville et réparer ce que la plupart des gens jettent pour racheter. Ça construit, imagine, installe. C’est un joyeux bordel, mais ils ne comptent que sur eux et ne demandent rien.
Je vois bien que la masse ne regarde pas leur initiative d’un bon œil. Car la propriété est la base d’une société capitaliste et une raison valable d’exploiter et de diviser les gens : ils vous vendent un espace de vie privilégier dans lequel vous enfermer après une journée de travail loin de la collectivité et de l’interaction.

 

Je les ai entendus parler de ce FESTIVAL DES OUVERTURES UTILES. Et j’ai voulu témoigner de ce boulot, de cette énergie et du temps passé à construire leur espace de vie pour le partager. Comme je vous disais, ca fait deux ans que je les suis, alors j’expose leur travail d’aménagement en photos, vidéos et autres supports. Pour que les critiques qu’ils reçoivent se heurtent enfin à la réalité de leur investissement. Ils dérangent ces gens de 18 à 62 ans, avec ou sans dents, avec ou sans papiers, avec ou sans envies artistiques mais avec une détermination de vivre selon leur morale en répondant à leurs besoins.
Passez le 22 mai à La Petite Maison et voyez donc le boulot qu’ils déploient. L’expo je l’ai appelée : SQUAT IS NOT A CRIME. Faut le dire. « 

Faisons des ponts entre les mouvements plutôt que d’ériger des barrières

Cette tribune est une réponse à une autre parue le 28 novembre 2015 : Le Jardin d’Alice parachuté à Montreuil .

 

Le Jardin d’Alice n’a pas pris un lieu au Baras ou à d’autres collectifs basé sur Montreuil ou les environs. Ce lieu était vide depuis longtemps et était très bien protégés. De nombreux groupes ont essayé de l’ouvrir et tous ce sont cassés les dents. Je le sais que trop bien, nous avons nous même passé de nombreuses nuits à errer dehors et dedans ce bâtiment ! C’est malheureusement la triste vérité : si le propriétaire est prêt à dépenser une fortune pour sécuriser un lieu, il n’y a malheureusement rien que nous squatteurs ne puissions faire. Alors tant mieux si le Jardin d’Alice a pu s’y installer et faire revivre se lieu. Car c’est ce qui importe au final : remplacer du vide par du plein, apporter quelque chose là où il n’y avait plus rien. Montreuil et ses environs ne manquent pas de forteresse laissées vacantes, attaquons-nous plutôt à celles-là plutôt que de critiquer les collectifs qui ont réussi à faire leur chemin.

 

Chaque lieux est différent. Le milieu des squats en Île de France regroupe des gens de tous horizons, mais qui partagent tous rejet du système actuel. Nous sommes tous le produit de notre éducation et des idées que la société essayent de nous faire adopter. Tout le monde n’a pas eu la chance d’être à un moment imprégné d’idées libertaires et anarchistes. Bien qu’aspirant à un autre mode de fonctionnement, certains squats reproduisent par défaut des modes d’organisation issus du capitalisme, notamment l’instauration d’une hiérarchie ou la volonté de faire de l’argent. Mais si l’on creuse un peu plus, on s’aperçoit vite que dans la plupart des cas, ce n’est pas parce qu’ils ont intrinsèquement envient, mais parce qu’ils ne connaissent rien d’autres et n’ont pas (encore) conscience que d’autres solutions fonctionnent encore mieux. Plutôt que de les pointer des doigts, ne serait-ce par mieux de leur tendre la main pour leur montrer qu’un monde meilleur est possible ?

 

Les rassemblements anti-COP21 ont d’ailleurs créés de nombreux liens entre groupes qui étaient autrefois séparés pour de bêtes querelles de clochers. Les principaux lieux d’accueil réellement actifs contre la COP21 sont justement décriés dans cet article. Le Jardin d’Alice et l’Annexe accueillent tous les jours des centaines de militants français et internationaux. Les assemblées contre les violences policières ou les Fanfares Invisibles qui se réunissaient auparavant au Transfo sont depuis longtemps hébergées au Stendhal. Les assemblées anti-COP21 se réunissent deux ou trois fois par semaine à l’Annexe depuis des semaines et sont passés auparavant par la Petite Maison. Idem pour la coordination francilienne des marches des ZAD. Dans la même veine, les réunions logements ou juridique anti-COP21 ont eu lieu à la CICP et la CNT et la Parole Errante accueillent sans cesse des événements de soutien. Ces critiques ne doivent pas nous empêcher de faire notre chemin. L’important, c’est d’avoir un maximum de lieux alternatifs et autogérés qui permettent de faire des choses ensemble.

 

Les moyens d’action du Jardin d’Alice sont peut-être très différents que ceux d’autres collectifs de Montreuil, mais il ne faut pas oublier que tous partagent de nombreux objectifs communs : la sortie du capitalisme, la recherche d’un nouveau mode d’organisation et de consommation, une ouverture aux autres et non un repli communautaire !

 

Le Jardin d’Alice n’a en aucun cas été parachuté à Montreuil par la Mairie de Paris, qui a au contraire tout fait pour les mettre au placard. S’ils ont réussi à signer une convention sur ce bâtiment, c’est parce qu’ils sont allé démarcher directement le propriétaire. Que l’on approuve ou non cette démarche, il ne faut pas non plus oublier que Montreuil n’appartient ni à V, ni au Baras, ni au Jardin d’Alice. Il appartient à tous ceux qui y vivent et y font des choses.

 

No border.

Clôture du F.O.U 2015

La 11ème édition du Festival des Ouvertures Utiles s’est terminée dans la bonne humeur, après une cinquantaine d’événements répartis sur trois semaines. Merci à tout le monde d’y avoir participer !

 

La prochaine édition du F.O.U devrait avoir lieu au printemps prochain. En attendant, vous pourrez toujours consulter l’agenda des squats sur la page dédié de ce site ou sur squat.net. Pour l’instant, les deux agendas sont un peu vide, mais nous faisons tout ce qui est possible pour encourager les squats à publier leur programme dessus !

22 mars 2014 – Cinq ans du Jardin d’Alice

A l’occasion de leur cinquième anniversaire, le jardin d’Alice vous attend pour la dernière fois au 40 rue de la Chapelle, avant de déménager pour un nouveau lieu.

 

Chers lapinoutes et lapinous
qui nous aimez et nous suivez,
Depuis le temps qu’on vous dit au revoir,
Eh bien nous y voilà, c’est le printemps…
…le Jardin d’Alice a gagné tous ronds 5 ans !!

 

Alors pour un au revoir// à très bientôt en forme d’anniversaire,
en forme de fête de soutien pour nos poches un peu vides,
en forme de changement d’adresse overbooké,
en forme de revoyure impatiente
en transition entre les 18eme et 12eme populaires..

 

…les JArtistes vous attendent une dernière fois
au 40 rue de la Chapelle,
au milieu des cartons et des pots de fleurs 🙂
ça va déménager dans la joie et le bon humus !!!
SAMEDI 22 MARS
DE 14H A …

 

Bienvenue donc en puissance Cinq
pour profiter encore un peu du lieu,
de sa météo particulière pour jardin particulier,
participer selon les envies, énergies
il y en aura pour tous les goûts !

 

Au programme :

 

Tout l’après-midi,
chantier participatif et créatif dans le jardin, ouvert aux grands et petits, aux flemmards comme aux bûcheurs du samedi!
Rempotage, bricolage de bacs à plantes, récup de bulbes, tri de graines, paillage, mandala végétal, peinture naturelle sur les arbres,atelier photophores pour l’ illumination du jardin et préparation d’un grand feu pour le froid du soir…
et …. grande fresque participative du suavenir, qu’on emmènera dans nos cartons pour l’installer dans le nouveau lieu !
+ Friperie de soutien

 

De 18h à 20h
Feu Ouvert !

Ramène ton histoire et partage là avec qui tu veux
A tous ceux que le jardin inspire, venez vous frotter à la chaleur du feu, et mettez-y ce que vous voulez : des mots, un conte, un poème, un jeu, une musique, une danse, une image…. et tout le reste!

 

De 20h à minuit
Jardin d’Alice baille night

Musique pour ceux qui veulent se trémousser dans l’ herbe, vidéo pour les contemplatifs, exposition dans la maison pour les curieux, feu encore et toujours pour les fatigués et coloriage pour les hyperactifs!
Ramène ton image et accroche la aux murs de la maison , pour qu’ils tombent en beauté…
Le Jardin d’Alice fermera tard, une dernière fois n’est pas coutume !

 

Et plus si affinité, dj’set année 80/90 en mode disco dans la maison,

Comme d’habitude, la buvette de soutien sera fidèle au poste
et les cartes d’adhérent fraîchement tamponnées feront de vous les tous premiers invités d’honneur sur le prochain site !
A TRES VITE ! 

 

Adhésion en prix libre et obligatoire
sonnette crocodile comme d’hab’